Le Conseil mondial de l’eau, basé à Marseille et généreusement soutenu par son équipe municipale, avait été imaginé par Veolia et les autres géants du secteur pour asseoir l’hégémonie du secteur privé sur le débat international. Organisateur tous les trois ans de « Forums mondiaux de l’eau » très contestés, il est aujourd’hui au centre d’une bataille juridique avec des organisations de la société civile qui veulent mettre à nu ce qu’il est réellement : une structure de lobbying au service des industriels.
À Marseille, le lobby mondial de l’eau imaginé par Veolia sous pression
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