Après la crise historique de 2014, les habitants de certains quartiers pauvres de São Paulo apprennent à prendre soin de l’eau

Les 11 millions d’habitants de São Paulo ont frôlé la catastrophe il y a trois ans. Suite à une longue sécheresse et à une gestion désastreuse, les réservoirs destinés à approvisionner la ville en eau potable étaient vides. L’eau est pourtant abondante dans les sous-sols de cette mégalopole tentaculaire. Une ressource que plusieurs quartiers et leurs habitants apprennent à gérer eux-mêmes, comme un bien commun, grâce à la présence de sources souterraines urbaines, mais non polluées. Ils aménagent des parcs, des fermes, et des jardins communautaires parfois foisonnants. Cela jusqu’aux pieds des favelas.

Lire sur le site de Basta ! l’enquête en deux volets :
 « Et puis un jour, l’eau s’est arrêtée » : quand São Paulo et ses 11 millions d’habitants ont frôlé la catastrophe
 Comment des habitants de São Paulo s’organisent pour transformer des sources urbaines en parcs et jardins autogérés

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