La "mafia de l’eau" de Karachi

Le Los Angeles Times raconte comment certains groupes économico-politico-criminels de la capitale pakistanaise siphonnent le réseau public pour aller revendre l’eau, au prix fort, dans les quartiers périphériques.

Majid Hussain, LA Times

L’article (lisible ici) explique que ces groupes agissent souvent en toute légalité et assèchent littéralement le réseau public pour remplir leurs camions-citernes.

Les pertes occasionnées par ce trafic sont estimées à pas moins de 41%. De sorte que, bien que la capitale pakistanaise dispose théoriquement de suffisamment d’eau et de canalisations pour desservir toute sa population, les quartiers les plus éloignés ne reçoivent souvent pas une goutte, et se trouvent obligés d’acheter leur eau aux traficants.

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