L’ONG allemande "Signe d’espoir" a révélé que les exploitations pétrolières situées sur les marais du du Sudd, la plus grande zone humide située à l’intérieur des terres au monde, formée par le Nil blanc dans la région semi-autonome du Sud Soudan, entraînaient une grave pollution de l’eau.
Les conséquences sanitaires de cette pollution sont potentiellement dévastatrices pour la population qui dépend des marais pour son approvisionnement en eau, une population estimée à 300 000 personnes. Les effets sur l’aval sont plus difficiles à estimer. Les champs pétroliers en question sont exploités par une multinationale malaisienne.
Lire la dépêche de l’AFP, et voir le reportage photo du Guardian.